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Il nous a toujours emportés avec sa vigueur opératique dans les soubresauts et les tourments de l'Histoire italienne. Après avoir signé une magistrale série, "Esterno Notte", sur l'enlèvement d'Aldo Moro par les Brigades Rouges en 1978 (contrechamp et...
Lire la suite« C’est ça le cinéma ! », lance, dans un accès d’hilarité fébrile, Marc (Pierre Niney), en train de bricoler un plan de raccord au caméscope avec deux gros tuyaux d’arrosage à la main en guise d’effet pluie. « Le livre des solutions » de Michel Gondry...
Lire la suiteIl y avait "Jojo", le français moyen selon Macron, équivalent du "average Joe" américain, voilà désormais "Yannick", incarnation du spectateur moyen, que Rima Abdul-Malak pourra reprendre comme élément de langage. Ce Yannick n'a rien à voir avec le spectateur...
Lire la suiteDans "Oui", fabuleux roman du bilieux Thomas Bernhard, le narrateur ne cessait de balancer entre la ville et la campagne, tempêtant autant contre l'illusion de l'une que contre la stérilité de l'autre. Ville ou campagne, telle est l'alternative qui s'offre...
Lire la suiteMalgré la détestation quasi proverbiale de Moretti pour le cinéma d'Haneke, force est de constater que "Vers un avenir radieux" est à l'œuvre du premier ce que "Happy end" est à l'œuvre du second : une sorte de best-of, de film-somme compilant les marronniers...
Lire la suiteComme une promesse d'été, de temps buissonnier, d'échappée belle, les films de Bruno Podalydès sortent toujours à l'orée de l'été. Mais avec "Wahou!", foin de vagabondages estivaux ou de divagations! "Il faut avoir la tchatche", martèle Octavio (Bruno...
Lire la suiteAu vu des premières scènes, on pourrait croire à une uchronie. Giulio Andreotti, Francesco Cossiga et un parlementaire sont au chevet d'un Aldo Moro affaibli mais libéré par les Brigades Rouges, libération que ne semblent guère goûter ces trois cerbères...
Lire la suiteIl y avait l’être de désir(s) et le désir des lettres. C’étaient en quelque sorte les deux pôles entre lesquels le cinéma de Michel Deville vagabondait, folâtrait, musardait à plaisir, mettant en scène un jeu de la séduction raffiné, élégant, en eaux...
Lire la suiteComme « Wonderstruck » de Todd Haynes il y a quelques années, « Armageddon Time » a été le film « Champomy » du barnum cannois, le film chromo à hauteur d’enfant regardé avec quelque condescendance par certains festivaliers désirant absorber la rumeur...
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